29 juillet 2007
Congés annuels
Alors c'est aussi mon tour de fermer pour congés annuels. Rendez vous dans une grosse semaine pour suivre mes aventures. En attendant, vous pouvez toujours cliquer ici pour passer un bon moment !
23 juillet 2007
Courtoisie du répertoire de contacts
J’ai changé de téléphone portable. La technologie avancée de ces bidules ne nous permettant pas de transférer facilement les numéros enregistrés dans le téléphone, il a fallu que je fasse un copier coller manuel, à l’aide d’un bic et de mon calepin préféré.
Cette tâche très artisanale m’a permis de remarquer plusieurs petits trucs dont on s’accommode dans la gestion de son répertoire téléphonique, sans forcément se les expliquer.
D’abord, qu’est ce qui justifie qu’un contact soit enregistré dans la carte SIM plutôt que dans le téléphone ?
Ensuite, pourquoi y a-t-il des contacts avec le simple prénom et d’autres avec le nom de famille ? Souvent, ceux qui sont les amis proches ont simplement le prénom, mais pas nécessairement. Mais entre deux amis qui portent le même prénom (Julien, Mathieu ou Clément par exemple), doit on mettre le nom de famille aux deux ? Ou bien à son ami préféré ? Et pourquoi ?
Pourquoi y a-t-il dans mon téléphone des couples d’amis enregistrés au même contact, et d’autres séparément ?
Pourquoi y a-t-il des gens qui ont le prénom-nom et d’autres le nom-prénom ?
Comment se fait-il que j’aie un jour enregistré le numéro de Pizza Hut ?
Qui est ce mystérieux électricien que j’ai retrouvé sous l’appellation « ELECTRICIEN » ??
Celui qui sent la bière et écoute Johnny, ou celui qui a prédit que mon appart brûlerait des flammes de l’enfer à cause de la mauvaise installation ?
En 2000, quand j’ai eu mon premier téléphone portable, un gros Alcatel sans vibreur, le répertoire n’était même pas par ordre alphabétique, il fallait que j’attribue à chaque contact un numéro. En 1er, mes parents, puis en 2, mes amis, etc… Comment une technologie si rustre ?
Je pense qu’il est temps d’établir les règles de courtoisie relatives à cet exercice. Qu’on saisisse la baronne de Rothschild, que dis-je, Maître Capello, non, à nous l’Académie Française !
17 juillet 2007
Et là, une ville entière s'est liguée contre nous
Et puis j’ai du dire une blague pas drôle, ou un commentaire pas sympa sur un trottoir, sur un pont ou une façade de maison, en un mot, j’ai du vexer la ville, parce qu’à partir de ce moment là, les éléments se liguèrent contre nous.
Les bicyclettes, jusqu’alors tranquilles, nous ont foncé dessus avec acharnement. A deux ou trois reprises, un cycliste m’a évité de justesse, proférant quelques insultes flamandes au passage.
La visite d’un fabricant de diamants, chaudement conseillée par le guide, a mal tournée. L’hôtesse parlait mal le français, elle n’était pas intéressée pour nous expliquer la taille des pierres précieuses et préférait nous vendre sa camelote. Remarquant notre manque d'interet, elle nous a invité à quitter la visite. En plus, notre groupe de touristes sentait fortement mauvais.
Alors qu’on regagnait l’hôtel pour se remettre de toutes ces émotions, nous nous sommes retrouvés devant la fabrique de Diamants après 20 minutes de marche. Un tour pour rien, qui plus est dans le pire quartier de la ville.
Le tramway était souvent peu fréquenté durant notre séjour. Alors que nous montions à l’intérieur, il s’est retrouvé sur chargé de touristes, d’autochtones et de bagages…
Toutes nos photos se sont retrouvées marquées par des doigts.
Le portier de l’hôtel me rendait fort gentiment mon sac après descendu les escaliers. Alors que je m’apprêtais à témoigner ma gratitude à ce brave homme, mes poches se sont trouvées aussi vide que le ventre d'une femme stérile. Quelle honte !
Il était décidément temps de rentrer à Paris. Amsterdam, ville ingrate !
09 juillet 2007
Monsieur Chat Thon
Ses tontons Uncle Whale et Klem ne peuvent, hélas, pas lui accorder le gite à cause de leur propres vacances. Nous faisons appel à toute générosité pour accueillir ce chaleureux compagnon félin durant quelques jours cet été, du 29 juillet au 6 août.
Il ne vous empêchera pas de regarder le Tour de France. Il lêchera le fond des conserves, parce qu'il est trop bête de gacher. Il se blottira sur vos genoux si vous lui recitez des poèmes de Goethe. Il vous fera découvrir des cachettes insoupçonnées dans votre logis. Et en plus, ses propriétaires vous confieront tout le matériel technique pour l'entretien du félin et vous récompenseront de leur gratitude éternelle.
Si seulement mon blog était (plus) lu ! Faîtes suivre ce post à vos amis !
08 juillet 2007
Une manière comme une autre de voyager
03 juillet 2007
Comment j’ai monté mon groupe de rock (ou pas)
La musique rock, j’adore. Muse, Radiohead, Kinito, je connais leurs albums par cœur à force de les écouter entre mes deux stations de transilien quotidiennes. Toutefois, autant j’aime beaucoup leur musique, autant je trouve qu’ils n’ont peut être pas tant de talent. Avec un peu de chance et beaucoup d’idées, je pourrais avoir un bon succès avec mon propre groupe de rock.
D’abord, première étape, le nom du groupe. Je pense que The Type Band c’est pas mal, il y a un petit côté anglais qui pourrait plaire à l’auditoire français en quête d’exotisme.
Il me faut un bassiste ensuite. L’idéal, c’est de trouver un frère jumeau. Les groupes de rock avec des jumeaux ont toujours très bien marché. Hélas, mes parents m’ont préféré en un seul exemplaire. Je pourrais demander à mon grand frère, on porte le même nom de famille, c’est déjà suffisant pour berner nombre de journalistes. Sinon je peux toujours trouver un type qui connait du monde en maison de disques.
A la batterie, je peux me permettre de trouver un type qui a du talent, il ne risque pas, une fois le succès venu, de faire faux bond en créant son propre groupe avec mon attaché de presse, mes dates et mon capital de popularité auprès du public. C’est vrai, on n’a jamais eu de chanteur-batteur tout seul, et c’est très bien comme ça !
Maintenant le look. Il y a plusieurs pistes : le gothique, le vintage, ou pas. Autant m’assumer tel que je suis et espérer fonder un nouveau courant de mode vestimentaire. Le concept ? Le jeune qui met des costumes et des chemises rayées pour le bureau ET pour jouer de la guitare. Ca pourrait libérer toute une force vive de travailleurs dociles en entreprise qui aiment pourtant se défouler à grand renfort de pogo, de bières bues très vite et d’incivilité auprès des vieilles dames qui veulent une place assise dans le métro.
Reste à trouver un premier single qui cartonne à la radio. Pour cela, pas de secret, il faut miser sur une reprise d’un tube des années 80. Ou mieux, une reprise remixée avec un autre élément, pour faire tout neuf. Un sample de David Bowie avec un extrait d’un discours de De Gaulle devrait faire l’affaire. J’ai déjà téléchargé Audacity pour mixer Let’s Dance et Je vous ai compris.
Voilà, le plus dur est fait. Reste à trouver mon public. Sur un malentendu, ça peut marcher…
01 juillet 2007
Connaissez-vous l’histoire d’Humphrey ?
Humphrey fut le chat employé à la chasse aux souris du 10, Downing Sreet pendant plus de dix ans, période durant laquelle il fut doté d’un statut officiel et d’un budget propre.
Il connu 4 premiers ministres et fut mis à la retraite par Tony Blair. Il figure dans la liste des chats célèbres de wikipedia et j'invite quiconque à lire sa passionante biographie : issu d'un milieu modeste, devenu une icone populaire puis un enjeu politique critique du pays.
Il parait que depuis plusieurs semaines, on a installé une nouvelle espèce animale au Palais de l'Elysée, un croisement de requin et de hyène aux dents longues...